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Voir que le sol est " derme" car s’y devinent rides, plis, cicatrices, craquelures, motifs visuels abstraits.
La terre a une peau et cette peau respire tout comme la peau humaine / "épiderme", cette couche superficielle qui recouvre nos corps.
La menace de bouleversements climatiques nous apprend à vivre chaque instant avec une attention plus vive à la fragilité et l’impermanence de ce qui nous entoure…
Une attention et des actions réparatrices,
« ... sur cette fine pellicule d’espace occupée par les hommes à la surface du globe."
Bruno Latour ( anthropologue, sociologue et philosophe des sciences)
 

 

avec Alain Boulerot ( photographe et artiste plasticien )
images, scénographie, montage et design sonore : Jean-Paul Devin-Roux